dimanche, janvier 22, 2006



scène 4 : les vies en parallèle



En ce monde incertain où les envies se fanent suite à consommation, où l’amour consumé s’évade en d’autres mondes, restent deux choses l’une :
« se parfumer le nez pour sentir d’autres bouches
ou crever gueule ouverte à respirer les autres ».