« les bijoux »
elle était donc couchée et se laissait aimer
de mes caresses au clair des lunes de septembre
En cet amour profond et douce comme une mère
elle se plongeait lascive aspirée par le Tendre
et sa chaleur unie à ma lubricité
embrasait nos élans en cette nuit d’octobre
Les yeux fixés sur moi comme un tigre dompté
à demi-lune offerte Elle pénétra mon marbre
de son bras de ses jambes de ses cuisses et son sein
qui effleurant le mien s’effaçait en novembre
Passaient devant nos yeux clairvoyants et sereins
les ombres de l’adieu Les fêtes de décembre
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