mardi, janvier 24, 2006




Mon bel eros,

Quel dommage de bégayer nos passés, nos maldonnes d’aiguillages, tous ces malentendus, tous ces enfanculages, ces tristes épousailles, ces effondres rencontres où nous avons sombré

Erreur ! car, tapi dans la pénombre, thanatos veille – espérant nos écroules, nos extinctions de rêve – réjouit, cannibale – il attend que nos chants deviennent inaudibles

Thanatos guette, ma douce eros ! quand ferons-nous le deuil de nos mortes années ?