scène déserte : … enfin, presque
ici, le dernier jour
toi,
qui a si souvent pardonné les expressions maladroites de mes pulsions maladives, tu peux comprendre ce départ précipité : j’ai voulu faire message – manque de Pöe, la mécanique oscillatoire de mes désirs calligraphiques s’est grippée
tombée en panne d’inspiration d’un fil suspendu à mille huit cent vingt millimètres de hauteur, ma gueule dépitée vient d’embrasser un sol condescendant mais froid
avec mon désarroi, reçois mes fraternelles et incestueuses pensées
aziz, le graffitographe
1 Comments:
I don't speak ur language, all i can say is very nice
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