lundi, janvier 30, 2006



du nez de ronsar’ et de celui de baudelair’
je ne sais comment j’ai tiré
ces quelques vers


mignonne amie – envie de sœur
obsèques issues de céphalées

mes sens excités par vos longs silences, par ce sentiment qui suscite en moi de tristes ivresses, vous réclame fort

oui, songe « songe à la douceur d’aller là-bas vivre ensemble »

mignonne ennui – envie d’amour
jardin gelé endeuillé

mes sens excités par vos longues absences, ce désarroi provoque de si lentes souffrances, vous déteste fort

« comme on voit sur la branche au mois de mai la rose » née-close