du nez de ronsar’ et de celui de baudelair’
je ne sais comment j’ai tiré
ces quelques vers
mignonne amie – envie de sœur
obsèques issues de céphalées
mes sens excités par vos longs silences, par ce sentiment qui suscite en moi de tristes ivresses, vous réclame fort
oui, songe « songe à la douceur d’aller là-bas vivre ensemble »
mignonne ennui – envie d’amour
jardin gelé endeuillé
mes sens excités par vos longues absences, ce désarroi provoque de si lentes souffrances, vous déteste fort
« comme on voit sur la branche au mois de mai la rose » née-close
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