des larmes sont là qui me noient volontiers
aux forêts d’espérance un jour j’irai chercher
la tendresse d’une belle
si la lune rieuse
en son bois d’attirance vient à me faire entendre
sous la chair de son âme
le cœur de la forêt
l’amoureuse me dira que les larmes sur moi
sont de si jolis fards
qu’il est beau de se perdre
en ces lacs d’ennivrance où l’on vient pour songer
à l’amour d’une femme
au creux de sa forêt
sont de si jolis fards
qu’il est beau de se perdre
en ces lacs d’ennivrance où l’on vient pour songer
à l’amour d’une femme
au creux de sa forêt
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