mercredi, février 08, 2006


y a pas de doute

car c’est la femme créée
la moitié de ton drame
qui n’appartient qu’à toi
venue pour te bercer
sur des vagues charnelles

et ton âme sur la dame
s’applique de ses charmes
de ses corps déployés
de ses muscles
heureux
de voir se déployer
leurs armes
dans la dame

rêvent rêvent à te bercer
les amoureux instants
virevoltant
le long des nuits
des lunes
aux ocres sirupeux